Comment êtes-vous arrivé chez Marrel, il y a 37 ans ?
Après des études d’ingénieur et des premières expériences techniques dans le secteur automobile et la programmation des machines-outils, j’ai su en arrivant dans la région que Marrel cherchait quelqu’un pour travailler sur les marchés militaires.
Ce poste m’intéressait particulièrement car il était très pointu, tout en étant tourné à l’international avec des projets pour le monde entier. C’est comme ça que ma carrière chez Marrel a démarré.
Comment avez-vous évolué ensuite ?
J’ai fait mes premières années dans le développement pour les marchés militaires, pour évoluer ensuite vers une fonction commerciale export. J’ai particulièrement travaillé sur les perspectives avec les Etats-Unis, et notamment nos relations avec notre filiale MARREL CORP.
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« Et depuis, j’ai toujours été à cheval entre ces deux fonctions :
le militaire au gré des opportunités et appels d’offre, et la partie civile export. »
Pouvez-vous nous expliquer la fonction de Responsable Produits chez Marrel ?
Je dirai que c’est un bon équilibre entre de la technique et du commerce. En tant que Responsable Produits, notre rôle est d’établir une relation de confiance avec les partenaires en étant un intermédiaire entre le Bureau d’Etudes et le client.
Nous sommes aujourd’hui 4 dans l’équipe, et nous nous répartissons les zones géographiques pour couvrir tout notre réseau. Nous travaillons à l’adaptation des équipements, à leur positionnement sur les différents marchés, à la formation et à leur utilisation. On est finalement experts dans notre domaine, et on est reconnu comme tels.
Quel regard portez-vous sur votre parcours et sur votre métier ?
Quand je pense à toutes ces années, je suis content du chemin parcouru. J’ai vu toute l’évolution de Marrel et j’ai toujours été globalement épanoui dans mon travail.
Le gros point fort de mon métier, c’est mon autonomie et la possibilité de m’organiser en fonction des objectifs et des demandes. Ce qui est très motivant aussi, c’est de voir les idées de concrétiser, jusque sur le terrain au contact avec les clients. Sans oublier cet ancrage international que j’ai toujours recherché.
Aujourd’hui, même si l’essentiel de ma carrière est derrière moi, j’ai encore quelques gros challenges à relever. Ca ne s’arrête jamais et au fond, c’est ce qui me plait (sourire).