El-Bouzidi, qu’est-ce qui vous a amené à travailler dans les Achats ?
J’ai initialement un parcours orienté clients, avec un B.T.S commerce international et une première expérience à Londres en tant qu’assistant manager. Ça m’a permis d’avoir une bonne vision globale de l’entreprise et d’apprendre à être polyvalent.
Quand je suis rentré en France, j’ai eu une opportunité cette fois-ci du côté Achats, avec un poste d’approvisionneur. Ça a été mes débuts dans l’univers des acheteurs, et ça m’a beaucoup plu. Je ne suis plus jamais reparti de ce côté-là !
Comment présenteriez-vous métier ?
Être approvisionneur, c’est être une interface à 360° qui œuvre en coulisses : à la fois en interne – entre les opérateurs, l’ordonnancement, le service clients et les pièces de rechange -, et en externe, avec tous les fournisseurs qui interviennent dans la fabrication des produits. Ma mission quotidienne, c’est d’éviter les ruptures de production tout en réduisant les coûts.
Mon métier est très riche, polyvalent, et il a un réel impact sur la vie industrielle de l’entreprise.
Pourquoi avoir choisi de rejoindre Marrel ?
Je cherchais une entreprise industrielle qui favorisait le « fabriqué en France », avec une forte dimension humaine.
L’ensemble des corps de métier sont présents sur site, on est plus agiles et c’est une vraie force – contrairement à d’autres postes que j’ai pu occuper. L’entreprise est sur une bonne trajectoire, l’impulsion est là et les projets sont nombreux.
Comment s’est déroulée cette première année ?
J’ai découvert une super équipe achats et j’ai été très bien intégré. Puis j’ai très vite été dans le bain, comme on dit. Chez Marrel, nous sommes deux approvisionneurs et nous gérons plus de 150 fournisseurs pour plus de 1600 références ! C’est du travail, on ne s’ennuie pas, et c’est ce qui fait l’intérêt du métier.
