Comment expliqueriez-vous l’univers de la qualité ?
Je dirais que la qualité, c’est essayer de maitriser au mieux les activités d’une entreprise pour satisfaire les clients. Cela passe par exemple par de la documentation, des vérifications, et aussi bien sûr beaucoup de pédagogie et de sensibilisation.
C’est à la fois rigoureux et très dynamique, car il faut sans cesse s’adapter et s’améliorer en permanence.
Comment vous êtes-vous tourné vers ce métier ?
Dans une entreprise, les services Qualité englobent souvent les dimensions Sécurité, Hygiène et Environnement. C’est ce dernier point qui m’a amené dans cette voie-là, car j’y étais très sensible.
J’ai donc suivi un D.U.T. en Hygiène Sécurité Environnement, avant de m’ouvrir plus globalement à la qualité dans son ensemble à travers un Master spécialisé. Je voulais pouvoir être polyvalent, tout en travaillant sur des actions concrètes dans un environnement industriel.
A quoi ressemble une journée type au travail ?
Les journées ne se ressemblent pas vraiment, et c’est ce qui me plait. Je travaille quotidiennement à la fois au bureau et sur le terrain, avec une top priorité : répondre aux clients et ne pas les laisser attendre. Cela étant, je m’organise toujours à peu près de la même manière : je commence ma journée en général par le traitement des urgences, avant de passer plutôt sur des phases de réflexion et d’amélioration continue.
» Je suis plutôt autonome tout en travaillant très souvent en équipe, c’est un bon équilibre. «
Quel est votre retour sur ces cinq années au sein de Marrel ?
Côté missions, même si je me suis éloigné finalement de la partie environnement, c’est très enrichissant et complémentaire. La production sur site est également un vrai atout, qui me permet de vivre concrètement mon métier et de pouvoir être réactif face aux retours de nos clients.
Marrel, c’est une entreprise qui correspond à mes valeurs, dans laquelle je me sens bien. Le côté humain, la co-construction tous les jours, c’étaient des critères super importants pour moi et ici, je m’y retrouve.