Julien, en quoi consiste votre métier ?
Je suis au cœur de l’Unité de Production « Mécanique » chez Marrel. Je suis animateur machines-outils : c’est très polyvalent et ça permet de toucher à toutes les dimensions de notre unité de production.
Au quotidien, j’essaie de coordonner toutes les machines pour faire en sorte que tout fonctionne, sans rupture, et sans rebut. Cela implique d’avoir les bons outillages, de vérifier les réglages, et d’accompagner les équipes dans leur utilisation des équipements.
Qu‘est-ce qui vous plait au quotidien ?
Tout mon job me plait. Le côté terrain bien sûr, avec sa polyvalence et son évolution constante. J’adore apprendre plein de choses, faire des missions différentes, et en dix ans c’est ce qui s’est passé.
Ce qui est super, c’est que ça continue dans cette voie, avec la nouvelle casquette d’animateur que j’ai depuis un an. Ce côté-là me permet de renforcer la cohésion avec les équipes et c’est aussi ce qui est motivant au quotidien : la bonne ambiance, la bonne intégration de chacun au sein du service.
Comment avez-vous choisi cette voie ?
J’ai obtenu un BTS en Maintenance industrielle qui m’a permis d’avoir une vision assez large des métiers de l’industrie, avec de bonnes bases en électrique, en pneumatique, hydraulique et mécanique.
Et ensuite, c’est surtout sur le terrain qu’on apprend le plus vite. J’ai eu l’opportunité de démarrer en intérim chez Marrel dans mon UP actuelle, avant d’être embauché après une année. C’est là que j’ai pu être formé sur les machines, et notamment les tours à commande numérique. Ça a donné encore une autre perspective à mon métier, et à la façon dont je pouvais contribuer à la conception des produits.
» J’ai toujours voulu travailler avec mes mains, faire quelque chose de concret «
Quel est votre recul sur ces dix années passées chez Marrel ?
Je n’ai pas de regrets et je me sens bien. Marrel m’a fait évoluer et m’a permis d’être formé sur d’autres missions dans mon métier.
Si on veut apprendre quelque chose ici et qu’on s’en donne les moyens, on peut vraiment le faire. L’entreprise nous fait confiance et c’est ce qui est motivant.